Photos de J.P.

Cette rubrique est naturellement dévolue à notre photographe maison, Jean-Pierre Thouin (+ 4 photos de Samira François, merci à elle), qui s’attache à capter les petits instants comme les grands moments du festival que nombre d’entre nous n’avons pas toujours eu le temps de saisir au vol. Un bon conseil : cliquez sur la première photo ci-dessous puis faites défiler les suivantes avec la roulette de votre souris. Sauf que vous perdrez nos légendes au passage…



Le 12 août, le Caribou Volant se pose à Verneuil…
Un duo franco-québécois formé par Ninon Moreau et Yoan Giansetto.
Leur élégance et leur talent nous ont enchantés.
Puis Sandra Le Couteur et Christien Béliveau leur succèdent.
Sandra nous raconte son phare…
et fait vibrer nos cœurs pour l'Acadie.
Le 13 août au matin, comme chaque année, René Dupuis honore la mémoire de l'aviateur Donald Dufton, abattu à Verneuil 73 ans plus tôt jour pour jour.
Le 13 août au soir, Valérie Pichon s'empare de la scène.
Aux guitares Gerry Boudreau (à gauche) et Terry Bradford (à droite).
Terry, d'origine anglaise (et qui représenta son pays au concours de l'Eurovision), vit désormais en France.
Gerry aussi vit en France, bien que d'origine acadienne.
Puis Carolyne Jomphe les rejoint en deuxième partie de soirée.
La "tornade rouge" mérite bien son surnom.
Belles et rebelles, ainsi qu'elles se revendiquent à juste raison, Valérie et Carolyne enflamment toute la salle.
Le 14 août vient le tour de Pied's'trad.
Un trio normand qui puise son inspiration des deux côtés de l'Atlantique.
Ils s'appellent Josselin Chéri, Simon Leterrier et Olivier Long.
Retenez bien leurs noms, ils ont de l'avenir !
Arrivent Albert Meslay…
… son air bourru et sa drôle de conférence :
un feu d'artifice de gags et de bons mots auxquels nul ne résiste.
Le 15 août à midi, le Grand Tintamarre s'apprête à partir de la traditionnelle brocante annuelle de la Gueule d'Enfer (photo de Samira François)
… pour célébrer le plus bruyamment possible la fête nationale de l'Acadie et promouvoir la pièce donnée le soir même par des comédiens amateurs venus de Miramichi, au Nouveau-Brunswick (photo de Samira François).
La remontée de la rue Thiers en direction de la mairie se fait au pas de charge (photo de Samira François).
À l'hôtel de ville, spécialement ouvert pour l'occasion, M. le maire Yves-Marie Rivemale prononce un mot de bienvenue puis donne l'accolade aux Acadiens Christine Morton et Jean Dallaporta.
Nicole Savoie et Anne Belzeaux, dont les élèves correspondent d'une rive à l'autre de l'océan qui les sépare, sont également mises à l'honneur.
Sur le seuil de la mairie, au milieu de ses amis vernoliens, toute la troupe Lalarmalœil de Miramichi laisse éclater sa joie et sa fierté.
Les mêmes vus sous un autre angle par Samira François.
Le 15 août au soir, à la salle des fêtes, Jean-Yves et Nicole Savoie (Louis et Juliette dans la pièce) échangent les premières répliques du Choix.
Dans le décor, à gauche, un tableau apparaît…
Sylvie Pearson et Sabrina Noël (Monique et Audrey) ont pris place quand Geneviève Hagley (Suzanne) fait son entrée.
Nicole Savoie et Geneviève Hagley.
À droite, Jean Dallaporta (Patrice) et Christine Morton (Cassandra) ont également été invités à dîner.
Sur scène, la troupe communautaire est maintenant au complet.
Les répliques fusent.
La bonne humeur est communicative.
Jean Dallaporta, qui l'eût cru, est un Acadien originaire de Marseille.
Christine Morton, elle, a peint le fameux tableau.
Nicole Savoie demeure pensive
… mais bientôt elle et Jean-Yves ont fait leur Choix : ce sont Sabrina et Jean qui partageront leurs vacances à Cuba.
Après de longs applaudissements, les dix Acadiens montés sur scène appellent Fabien Perucca, président de l'association organisatrice du festival, à les rejoindre pour se voir remettre en cadeau de remerciement le tableau peint par Christine Morton
… mais un tableau dûment signé par tous ses nouveaux amis de Miramichi.
Le 17 août au matin, comme chaque année, hommage est rendu par Philippe Thouin, René Dupuis et Michèle Thouin au commando parachutiste canadien Hector Sylvestre, fusillé à Verneuil ce même jour de 1944. Le festival est resté fidèle à son devoir de mémoire.


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